A la monotonie des jours qui passent
Les rendre plus vivants, plus joyeux
A la Saint Valentin "commerciale" à souhait
La fêter quand même, simplement, par amour pour celui qui partage notre vie, nos joies, nos tristesses
Ne pas attendre ce jour-là pour montrer son amour à son amoureux
Aux soirées du quotidien
qui mériteraient d'être plus belles, fantasques, folles
Prendre le temps, de temps en temps, de vivre cette beauté, ce fantasme, cette folie
Aux fleurs qui fanent
En acheter, en cueillir, en offrir aussi souvent que possible
Au manque d'envie
Se forcer, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie
A vivre ses rêves malgré tout
Aux "amis toxiques"
A ceux que l'on aime pourtant énormément
mais qui abiment notre amour propre
Aux enfants
qui voudraient tant ceci ou cela
Savoir dire non
Aux choses qui ne leur correspondent pas (sous prétexte de "modes")
A ce qui pourrait leur faire du mal (même si le dernier copain en date a, lui, regardé tel film, fait telle sortie, "goûté" à telle substance - alcool, tabac, etc.)
Au risque de voir leurs mines tristes, en colère
Leur offrir mieux
leur offrir des rêves accessibles
leur offrir les petits bonheurs
dont ils n'auront pleinement conscience qu'une fois l'âge adulte arrivé
A la maladie
qui bousille les vies
Être plus fort qu'elle, encore et toujours
La combattre
Jusqu'à son dernier souffle s'il le faut
A l'indifférence
Savoir tendre une main, offrir un sourire quand il le faut
A la vie
Savoir écouter son cœur plus que ses convictions profondes
La rendre plus belle même dans les moments de blues
Pouvoir se remettre en question encore et encore
Ne rien tenir pour acquis
A la mort
Laisser de merveilleux souvenirs à ceux qui restent
Qui nous ont aimé, qui nous aime et nous aimeront pour toujours
A l'oubli
Laisser l'image d'un sourire,
d'une main tendue
qui a aidé ceux qui nous entourent à se relever, plus forts, plus grands
La sensation inoubliable d'un câlin
Le souvenir d'une parole de réconfort, d'un silence qui a fait plus que des mots
Certaines parties me parlent , beaucoup.
RépondreSupprimerMerci pour ce beau texte.
Bises
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